Il existe des routes par tout le continent qui peuvent apparaître dans les guides ou dans notre imaginaire, duquel représente bien plus que l’essence des protagonistes qui l’ont parcourue. De cette manière, un voyage en train en Europe peut vous évoquer à Mozart de Salzbourg à Vienne ; à Napoléon prêt à envahir Russie par la « Via Regia » ; ou à Picasso en s’inspirant dès le sud de la France à Barcelona qui est sa ville d’accueil.
Aix-en-Provence : Inspiration par l’admiration
Notre rue habituelle picassienne pourrait avoir eu son commencement à Marseille, où récemment, une exposition avec plusieurs de ses œuvres présentées dans le MuCEM (Musée de civilisations de l’Europe et de la Méditerranée) ; ou également à Nice, où le rival de Picasso : Matisse a développé son œuvre. Mais finalement, nous y situons dans la belle location d’Aix-en-Provence pour ces deux raisons : la première raison est Paul Cézanne qui a été une source d’inspiration continuée et reconnue par le caractère malaguène. La deuxième est le château de Vauvenargues qu’était la résidence de Picasso quand il s’est déplacé en 1958 pour s’imprégner de tout ce que le peintre postimpressionniste a utilisé pour créer ses œuvres, comme il a été : les joueurs de cartes qui sont le sommet à atteindre de Picasso. Malgré il a habité dans cette résidence seulement pour 2 ans, néanmoins, il a pensé toujours dans sa famille. Telle était l’importance que la famille avait pour lui, qu’après de sa mort, ses dépouilles mortelles ont été déplacées à la colline. C’est pourquoi il avait acheté le château, action qui a été très critiquée pour acquérir un château ruineux. Avec lequel, Picasso a répondu : Cézanne a peint cette montagne. Je suis maintenant sa propriétaire.
Avignon : Justice poétique autour de cinq mesdemoiselles
Le suivant arrêt est la prochaine station du train qui est débordant d’histoire pittoresque : Avignon. Mais, nous ne devons pas nous confondons : la raison de cet arrêt n’est pas pour le nom de la ville qui présume être la fondation du mouvement moderniste et le commencement de l’étape cubiste de Picasso, puisque ce tableau célèbre fait référence à la rue Avignon à Barcelone, où vous pouvez trouver la majorité des maisons closes de la ville. Alors, que chose doit Picasso à cette ville provençale ? L’être témoin de nombreuses routes touristiques qu’il a parcouru au milieu du siècle avec un autre grand maître du cubisme : George Braque. Ces mémoires lui ont encouragent à organiser la meilleure exposition du peintre malaguène dans l’emblématique Palais Royale Papale après la mort du peintre parisienne.
Figueras : Le lieu de recréation des maîtres de la peinture
À côté de la frontière avec Espagne, le premier arrêt est synonyme d’un autre maitre de la peinture du siècle XXème, dû que Figueras est synonyme de Dalí. C’est pour cela que le triangule qui forme avec les précieux villages de Portillgat et Cadaqués ont été les scénarios de plusieurs réunions avec son grand ami. De même manière, nous pourrons apprécier certains vestiges de l’artiste qui a créé la Guernica du charmant Musée du Jouet, où Picasso a donné divers tableaux qui partagent des vitrines avec d’autres amis comme Dalí ou García Lorca. Intangiblement, Figueras nous donne le beau reflet bleu de la mer sur les maisons blanchies à la chaux de Cadaqués que Picasso imprimerait dans ses postérieures peintures.
Barcelone : Sa plus grande influence
Avec le permis de Málaga, il n’y a pas de meilleure ville qui desserve de capter l’héritage du peintre que la capitale catalane : Barcelone, où nous trouvons un de ses musées plus emblématiques avec la majorité d’œuvres récupérées dès son étape plus jeune jusqu’à l’étape qui lui a fait expérimenter avec de divers matériaux, comme la céramique. En plus du musée courtisan, à Barcelone nous trouvons, également, d’autres coins picassiens comme il est le café « Els Quatre Gats », où Picasso avait des réunions avec Santiago Rusiñol, Ramón Casas, et de mêmes manières, où il a connu un autre maitre lié à la ville : Gaudí. Aussi, l’unique œuvre de Picasso qui s’expose à plein air est dans la frise de l’École d’Architectes, par hasard de ce café. La Loge de Mer, où Picasso a étudié plusieurs de techniques picturales, ou la rue « Avinyó », véritable lieu de résidence des mesdemoiselles, envisagent les parcours qui nous servons pour comprendre le sentiment de cette célèbre figure des arts des nouveaux temps.